
Une nouvelle étude publiée dans la revue BRAIN révèle pour la première fois que les neurones dans la moelle épinière traitent les signaux de douleur différemment chez la femme et chez l’homme. Cette découverte pourrait mener à des traitements plus efficaces et plus personnalisés contre la douleur chronique, qui font cruellement défaut, surtout à la lumière de l’épidémie d’opioïdes.
Nous savons depuis longtemps que la femme et l’homme ressentent la douleur différemment, mais la plupart des recherches sur la douleur utilisent des rongeurs mâles. Le caractère inédit de la nouvelle étude est l’utilisation de tissus de moelle épinière de rats et d’humains (généreusement donnés par des personnes décédées et leur famille). Continuer la lecture