Une nouvelle étude de Claire Gizowski et Charles Bourque établit un lien entre des signaux physiologiques et les rythmes circadiens
Une nouvelle étude réalisée à l’Université McGill révèle qu’une augmentation du taux de sodium dans le sang pourrait avoir une incidence sur l’horloge biologique des souris. Cette découverte ouvre de nouvelles avenues à la recherche sur le traitement des effets néfastes des voyages longue distance ou du travail par quarts.
Publiés dans la revue Nature par Claire Gizowski, ancienne doctorante de McGill, et Charles Bourque, professeur au Département de neurologie et de neurochirurgie de l’Université McGill, les résultats montrent pour la première fois que l’injection d’une solution saline à des souris entraîne une activation des neurones associés à l’horloge biologique principale – le noyau suprachiasmatique (NSC) – située dans le cerveau Continuer la lecture