Connexion ACN – Juin 2022

Lisez Connexion ACN pour en apprendre plus sur nos activités récentes et nos plans pour les mois à venir!

Contenu

Premier rapport du nouveau Comité permanent de la Chambre des communes sur la science et la recherche déposé le 6 juin

Le nouveau Comité permanent de la Chambre des communes sur la science et la recherche a déposé son tout premier rapport le 6 juin, dans le cadre de son étude «RÉUSSITES, DÉFIS ET OPPORTUNITÉS POUR LA SCIENCE AU CANADA». L’Association canadienne des neurosciences (ACN) est l’une des seize organisations qui ont présenté un mémoire dans le cadre des consultations. Le comité a tenu des réunions pendant trois mois, que l’ACN a suivies de près, écoutant les organisations scientifiques et de recherche, les institutions postsecondaires, les entreprises et les ministères.

L’ACN accueille favorablement les 13 recommandations faites au gouvernement et se réjouit que l’une d’entre elles (une augmentation initiale de 25 % des budgets des trois conseils subventionnaires, suivie d’une augmentation annuelle de 10 %) soit spécifiquement mentionnée dans le rapport. De plus, nous sommes heureux de constater que le Comité a reconnu l’énorme recul de l’écosystème de recherche du Canada causé par la pandémie, et l’impact de la mobilisation rapide des ressources pour mener des recherches sur le COVID-19, parfois au détriment de la recherche sur d’autres questions de santé. Continuer la lecture

Bravo aux gagnants des prix Cerveau en tête INSMT-IRSC 2021!

L’Association canadienne des neurosciences (ACN) et l’Institut des neurosciences, de la santé mentale et des toxicomanies des Instituts de recherche en santé du Canada (INSMT-IRSC) sont fiers d’annoncer les gagnants du concours Cerveau en tête 2021.

Les prix Cerveau en tête INSMT-IRSC, administrés pour 2021 par l’Association canadienne des neurosciences, sont décernés aux étudiants et aux stagiaires qui ont publié des découvertes à impact élevé dans tous les domaines et disciplines couverts par l’Institut des neurosciences, de la santé mentale et des toxicomanies durant l’année 2021.

Les trois premiers gagnants ont été invités à faire une présentation au congrès de l’ACN.

Apprenez-en plus sur les gagnant ici

Réponse au budget 2022 – «Un plan pour faire croître notre économie et rendre la vie plus abordable »

L’Association canadienne des neurosciences reconnaît les investissements clés qui ont été faits pour soutenir des domaines de recherche ciblés dans le budget 2022, mais demande au gouvernement de fournir un soutien plus large à la communauté scientifique canadienne en augmentant le financement de la recherche fondamentale. Nous sommes particulièrement déçus par le manque de soutien accru pour la recherche non ciblée, fondée sur des hypothèses et dirigée par des chercheurs, financée par les trois Conseils subventionnaires fédéraux, les Instituts de recherche en santé du Canada – IRSC, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie – CRSNG, et le Conseil de recherches en sciences humaines – CRSH.

Des investissements clés sont annoncés dans des domaines de recherche ciblés et pour soutenir une communauté de recherche plus diversifiée.

Dans le budget 2022, la ministre des Finances, Chrystia Freeland, a annoncé des investissements clés pour soutenir la recherche sur la démence (20 millions de dollars sur cinq ans pour des fonds ciblés par l’intermédiaire des IRSC et 30 millions de dollars pour le Centre for Aging and Brain Health Innovation de Baycrest). Le fardeau des troubles neurologiques a considérablement augmenté au cours des 25 dernières années avec le vieillissement de la population et a eu un impact croissant sur les Canadiens et sur l’économie. Nous savons que les troubles neurologiques, comme la maladie d’Alzheimer et la SLA, sont la principale cause d’invalidité et la deuxième cause de décès dans le monde. Ces investissements sont donc bienvenus et opportuns.

L’Association canadienne des neurosciences applaudit de tout cœur le nouveau financement proposé pour soutenir les chercheurs canadiens des communautés noires (40,9 millions de dollars sur cinq ans, à compter de 2022-2023, et 9,7 millions de dollars par la suite, aux conseils subventionnaires fédéraux afin d’appuyer l’octroi de bourses d’études et de perfectionnement ciblées à des chercheurs étudiants des communautés noires prometteurs.). Une main-d’œuvre diversifiée et inclusive mène à une meilleure recherche et à une meilleure science.

De nouveaux fonds ont également été annoncés pour soutenir le Programme des chaires de recherche du Canada (38,3 millions de dollars sur quatre ans, à compter de 2023-24, et 12,7 millions de dollars en continu pour les conseils subventionnaires fédéraux afin d’ajouter de nouvelles chaires d’excellence en recherche du Canada recrutées à l’échelle internationale). Cet investissement aidera le Canada à attirer et à retenir des chercheurs de classe mondiale.

Le besoin d’un soutien plus large pour la communauté de recherche canadienne diversifiée et innovatrice

Bien que nous applaudissions les investissements ciblés annoncés dans le budget 2022, nous devons également exprimer notre déception quant au manque de réinvestissement dans la recherche fondamentale financée par les IRSC, le CRSNG et le CRSH. Ces trois entités constituent le principal mécanisme de financement de la science fondamentale au Canada, et nous sommes très déçus qu’aucun nouveau financement pour la recherche non ciblée soutenue par ces organismes n’ait été annoncé dans le budget 2022.  En effet, une fois corrigé de l’inflation, le pouvoir d’achat continue de diminuer et est aggravé par les pressions de la chaîne d’approvisionnement qui ont considérablement augmenté les coûts pendant la pandémie.

Les scientifiques canadiens travaillent pour tous les Canadiens. Leurs découvertes alimentent l’économie de l’innovation, leurs laboratoires forment du personnel hautement qualifié qui contribue à la diversification de la main-d’œuvre canadienne, et leurs découvertes donnent également de l’espoir aux Canadiens qui vivent avec des maladies pour lesquelles il n’existe actuellement aucun remède et peu de traitements. Les neuroscientifiques canadiens s’efforcent de trouver des remèdes et des traitements pour un large éventail de maladies et de troubles du cerveau. La recherche fondamentale visant à comprendre le fonctionnement du cerveau et du système nerveux offre notre meilleure chance de réduire le fardeau des troubles neurologiques et d’améliorer la qualité de vie des Canadiens. La pandémie de COVID-19 nous a montré qu’une crise sanitaire peut avoir de vastes répercussions sur notre santé, notre économie et notre bien-être mental. Investir dans la recherche fondamentale permettra au Canada de relever les défis actuels, mais c’est aussi un investissement dans la préparation scientifique, pour être prêt à affronter le prochain défi de santé.

Si vous demandez à la communauté des chercheurs comment relever les défis de l’avenir, elle vous répondra que la recherche fondamentale est l’élément clé pour développer de nouvelles solutions aux problèmes émergents. Qui aurait pu prédire que la recherche fondamentale sur les nanoparticules lipidiques menée par le professeur Pieter Cullis pendant 40 ans à l’université de la Colombie-Britannique serait un élément clé du développement des vaccins COVID-19 à base d’ARNm ? Pas beaucoup. La semaine dernière, le Dr Cullis a été annoncé comme lauréat du prix Gairdner, souvent précurseur du prix Nobel. Des exemples comme celui-ci montrent pourquoi il est important de soutenir la recherche fondamentale dans tous les domaines et de faire de la recherche motivée par la curiosité et dirigée par des chercheurs une priorité pour le Canada.

C’est maintenant qu’il faut soutenir la recherche fondamentale. Le Canada abrite de nombreux chercheurs novateurs dont les découvertes alimentent l’économie de l’innovation. Nous devons nous efforcer de retenir les talents canadiens en soutenant un écosystème scientifique et de recherche sain. Le niveau de financement des IRSC est resté stagnant alors que les coûts de la recherche augmentent et que le nombre de chercheurs augmente. En même temps, de nombreux pays, dont les États-Unis, réinvestissent massivement dans la science pour stimuler l’économie du savoir.

Un soutien accru est nécessaire pour maintenir notre attractivité pour la prochaine génération de chercheurs. En 2021, les étudiants à la maîtrise et au doctorat bénéficiant d’une bourse d’études supérieures du Canada (BESC) recevront exactement le même montant qu’en 2004, soit 17 500 $ pour un étudiant à la maîtrise et 35 000 $ pour un étudiant au doctorat.  Ces bourses n’ont pas suivi l’inflation, et aucun nouvel investissement dans cet important programme n’a été annoncé dans le budget 2022. C’est décourageant pour ces étudiants, qui doivent maintenant faire face à la hausse des coûts de logement et des taux d’inflation, et qui voient leurs superviseurs se battre pour obtenir des fonds de recherche. Le milieu universitaire est donc vu comme un milieu dans lequel il est difficile de percer, sans indication claire que la situation va s’améliorer, et cette perspective décourageante amplifie l’inquiétude quant à la viabilité de la recherche fondamentale, y compris les sciences du cerveau, au Canada.

Nous avons été frappés par cette situation lorsque l’étudiante membre de notre groupe de défense nous a informés qu’elle avait récemment décidé d’abandonner son doctorat pour de nombreuses raisons personnelles et a indiqué que l’une des forces motrices était la difficulté de vivre avec une allocation de 20 000 $ par an à Toronto. Elle est très inquiète pour l’avenir de la science au Canada, car elle voit de nombreux collègues abandonner ou choisir d’autres carrières. Payer les étudiants à un salaire décent est la base de l’équité, de la diversité et de l’inclusion, et est absolument nécessaire si nous voulons attirer les esprits les plus brillants de divers milieux et pas seulement ceux qui sont indépendamment riches.

La présentation du budget 2022 se termine par cette phrase : « Un plan qui investit dans les gens. Et un plan qui aidera à bâtir un Canada où personne ne sera laissé pour compte».  Les chercheurs et les étudiants qui dépendent des fonds obtenus par le biais des IRSC, du CRSNG et des SSHR se sentent aujourd’hui un peu laissés pour compte. Nous espérons pouvoir travailler avec le gouvernement pour soutenir la recherche fondamentale à l’avenir.

Boris Bernhardt gagne le Prix du nouveau chercheur de l’Association canadienne des neurosciences 2022

Boris Bernhardt
Boris Bernhardt

L’Association canadienne des neurosciences est extrêmement fière de remettre au Dr Boris Bernhardt, professeur adjoint en neurologie et neurochirurgie à l’Université McGill, le Prix du nouveau chercheur 2022 de l’ACN. Le Dr Boris Bernhardt est titulaire d’une chaire de recherche du Canada de niveau 2 en neuroinformatique cognitive et dirige le laboratoire d’imagerie multimodale et d’analyse du connectome (http://mica-mni.github.io) au Centre d’imagerie cérébrale McConnell (CIB) de l’Institut-Hôpital neurologique de Montréal (le Neuro).

Le Dr Boris Bernhardt est reconnu internationalement pour ses recherches qui visent à mieux comprendre l’organisation du cerveau humain, son développement et les mécanismes neuronaux de la cognition humaine à différentes échelles spatiales et temporelles. Ses recherches intègrent des approches de pointe en neuroimagerie in vivo, en science des réseaux, en histologie et en transcriptomique. Il est l’un des pionniers d’un domaine émergent des neurosciences systémiques, qui étudie les gradients à grande échelle – des modèles spatialement organisés de microarchitecture, de connectivité et de fonction cérébrales – et examine leur rôle dans la cognition humaine. Ses recherches ont contribué à une meilleure compréhension de la manière dont les anomalies des réseaux multi-échelles contribuent aux fonctions cérébrales atypiques et aux difficultés cognitives dans des pathologies courantes, notamment l’épilepsie et l’autisme.

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L’homme et la femme traitent différemment les signaux de douleur

Drs. Annemarie Dedek, Eve Tsai, Mike Hildebrand and colleagues have discovered that neurons in the spinal cord process pain signals differently in women compared to men. Image courtesy of Justin Tang.
Annemarie Dedek, Eve Tsai, Mike Hildebrand Photo courtoisie de Justin Tang.

Une nouvelle étude publiée dans la revue BRAIN révèle pour la première fois que les neurones dans la moelle épinière traitent les signaux de douleur différemment chez la femme et chez l’homme. Cette découverte pourrait mener à des traitements plus efficaces et plus personnalisés contre la douleur chronique, qui font cruellement défaut, surtout à la lumière de l’épidémie d’opioïdes.

Nous savons depuis longtemps que la femme et l’homme ressentent la douleur différemment, mais la plupart des recherches sur la douleur utilisent des rongeurs mâles. Le caractère inédit de la nouvelle étude est l’utilisation de tissus de moelle épinière de rats et d’humains (généreusement donnés par des personnes décédées et leur famille). Continuer la lecture

21 – 25 mars 2022: Semaine sur la colline parlementaire de l’ACN

Les neuroscientifiques canadiens rencontrent les députés, les sénateurs et le personnel parlementaire cette semaine dans le cadre de la Semaine de la Colline du Parlement de l’ACN !

Nous plaidons pour une augmentation du financement de la recherche fondamentale au Canada, par le biais des IRSC, du CRSNG et du CRSH. Nos demandes spécifiques sont les suivantes :

Recommandation 1 : Que le gouvernement du Canada accorde une augmentation unique de 25 % de l’investissement dans les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) et le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) pour le redémarrage de la recherche et des laboratoires de recherche au Canada après le revers de la pandémie de COVID-19.

Recommandation 2 : Le gouvernement devrait s’engager à fournir un financement solide et prévisible pour la recherche fondamentale de découverte afin de soutenir et de développer la communauté scientifique du Canada. Le financement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie (CRSNG) et du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) devrait être augmenté d’au moins 10 % par année. Cette recommandation est conforme à l’Examen des sciences fondamentales de 2017 et permettra de s’assurer que l’écosystème de recherche du Canada est sain et résilient pour faire face à tout défi futur.

Pour en savoir plus, consultez nos

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Appel de candidatures – Participants pour la semaine sur la Colline parlementaire 2022 de l’ACN

Nous sommes ravis de lancer l’appel de candidatures pour les participants à la prochaine Semaine de la Colline parlementaire de l’Association canadienne des neurosciences, qui aura lieu en mars 2022, sous forme d’événement virtuel. Nous recherchons un groupe représentatif et diversifié de neuroscientifiques qui rencontreront des députés, des sénateurs et des membres du personnel de la Colline parlementaire afin de souligner l’importance de la recherche fondamentale au Canada et la nécessité de mieux la soutenir.

Les neuroscientifiques recrutés pour cet événement seront invités à participer à une à quatre réunions, par groupes de quatre ou cinq, pour parler de leurs recherches et de l’importance du financement fédéral pour les soutenir. Nous souhaitons, dans la mesure du possible, jumeler les neuroscientifiques avec des représentants de leur circonscription et/ou intéressés par leur sujet de recherche. Les réunions durent généralement de 30 à 45 minutes. Une séance de formation sera organisée avant les rencontres.

La période de candidature est ouverte jusqu’au 28 février 2022.

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Programme de promotion des neurosciences ouvert de l’Institut et hôpital neurologiques de Montréal

L’ACN est fière de soutenir le développement du programme de promotion des neurosciences de l’Institut neurologique de Montréal.

Description de l’initiative

Les  » appels à l’action  » 6 à 12 de la Commission de vérité et de réconciliation ont trait à l’élimination des obstacles à l’éducation des jeunes autochtones et à l’élimination des écarts d’éducation entre les Canadiens autochtones et non autochtones. Avec cette demande, nous proposons de créer le  » TOSI Open Outreach Program « , un programme de sensibilisation spécifique aux neurosciences, géré par l’Institut neurologique de Montréal. Son objectif sera de s’engager auprès des jeunes des communautés nordiques éloignées et de les exposer à l’enseignement et à la recherche en neurosciences, dans le but à long terme d’inciter les étudiants autochtones de ces communautés à s’inscrire à des programmes universitaires liés aux neurosciences. Le « programme de sensibilisation ouvert TOSI » sera dirigé par un chercheur principal basé à l’Institut neurologique de Montréal – sélectionné par le comité  TOSI – qui s’associera à d’autres groupes basés à McGill, au Québec et au Canada, tels que BrainReach North, McGill Indigenous Initiatives, et l’Association canadienne des neurosciences, afin d’élaborer une stratégie québécoise visant à accroître les activités de sensibilisation aux neurosciences dans les communautés nordiques éloignées, et de s’assurer que ces activités sont conçues en partenariat avec les dirigeants et les communautés autochtones afin de maximiser l’impact et d’assurer la durabilité. L’une des limites actuelles d’initiatives de sensibilisation similaires est la difficulté d’établir des contacts avec les communautés locales et de maintenir les contacts déjà établis avec les communautés – ainsi, l’un des axes centraux de cette proposition est d’établir et de renforcer les connexions communautaires pour permettre un programme de sensibilisation durable. Enfin, une fois que le « TOSI Open Outreach Program » sera bien établi dans les communautés nordiques éloignées, son champ d’action pourrait être étendu à d’autres communautés traditionnellement mal desservies.

Public cible / potentiel de sensibilisation

Les jeunes des communautés nordiques éloignées du Québec.

Les objectifs de cette proposition sont les suivants :

Établir le  » programme de sensibilisation ouvert TOSI  » au Neuro, ce qui comprendrait :

  • Formaliser le  » programme de sensibilisation ouvert  » au sein du TOSI.
  • Définir un mandat pour le « Programme de sensibilisation ouvert de la TOSI ».
  • la sélection d’un président pour diriger le programme
  • l’établissement d’une présence sur le site Web du Neuro

Formaliser les partenariats avec les parties prenantes, y compris (mais sans s’y limiter) :

  • BrainReach North
  • Initiatives autochtones de McGill
  • Association canadienne des neurosciences
  • Brain Canada
  • Organisation internationale de recherche sur le cerveau (IBRO)

Développer un plan d’action qui englobe :

  • L’établissement d’un réseau d’éducateurs et de leaders communautaires dans les communautés du Nord.
  • Lancer un dialogue avec les éducateurs et les dirigeants des communautés nordiques afin d’élaborer un plan de sensibilisation conçu en tenant compte de leurs besoins et de leurs préoccupations, et qui assure la durabilité du programme.
  • Formaliser le plan de sensibilisation en produits livrables spécifiques, tels que du  » matériel pédagogique en ligne « , des  » événements éducatifs interactifs en personne « , des  » événements de rencontre avec un scientifique  » et des  » événements de salon des neurosciences « .

Organisateur(s)

– Dr. Stuart Trenholm (McGill, Institut neurologique de Montréal)
– Dr. Arjun Krishnaswamy (McGill, Département de physiologie, yIBRO)

Excellence scientifique / impact

Nous croyons que cette initiative comblera une lacune importante dans les activités actuelles de sensibilisation visant les communautés nordiques éloignées en mettant l’accent sur l’établissement de liens communautaires durables, et nous pensons qu’une telle initiative serait un grand coup de pouce pour accroître l’EDI dans l’exposition et la formation en neurosciences au Canada pour une communauté historiquement mal desservie.

Équité / Diversité / Inclusion

Le programme de sensibilisation ouvert proposé est un événement de sensibilisation visant exclusivement à accroître l’engagement lié aux neurosciences auprès des communautés nordiques éloignées (en grande partie autochtones) du Québec. Cette proposition est donc une initiative locale visant à accroître l’EDI dans la formation et l’exposition aux neurosciences, avec l’objectif à long terme d’augmenter le nombre d’Autochtones qui entrent dans le domaine des neurosciences.