Des chercheurs découvrent une petite molécule qui pourrait améliorer la réponse au traitement des patients dépressifs
Les niveaux d’expression d’une petite molécule existant uniquement chez les humains et chez les primates sont plus bas dans le cerveau des personnes dépressives, selon des chercheurs de l’Université McGill et de l’Institut Douglas. Cette découverte pourrait ouvrir la voie à de nouveaux traitements plus efficaces pour ceux qui sont atteints de dépression. Continuer la lecture