Une étude fournit des preuves solides quant à la présence d’un processus biologique ancré dans l’ADN entraînant des répercussions sur des réseaux génétiques entiers.
Les expériences vécues au début de la vie donnent lieu à d’importantes modifications sur le marquage chimique épigénétique du cerveau, selon des chercheurs de l’Université McGill. Ces modifications sont causées par une fine couche de composés chimiques appelés groupes méthyles. Continuer la lecture