
Les criminels violents psychopathes présentent des anomalies dans des parties de leur cerveau associées à l’apprentissage de la punition et de la récompense selon une étude d’IRM menée par Sheilagh Hodgins et Nigel Blackwood. «Dans les pénitenciers canadiens, un détenu sur cinq reçoit un diagnostic de psychopathie», explique Mme Hodgins, professeure à l’Université de Montréal et chercheuse à l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal. Continuer la lecture