Les gènes et voies métaboliques identifiées pourraient mener à de nouvelles approches de traitement
Dans le cadre d’un effort de collaboration multinationale, les chercheurs du Centre for Addiction and Mental Health (CAMH) ont permis d’identifier plus de 100 régions du génome humain associés au risque de développer la schizophrénie, ce qui en fait la plus grande étude génomique publié sur un trouble psychiatrique à ce jour. Les résultats, publiés en ligne dans la revue Nature, éclaire les mécanismes et voies qui sous-tendent la biologie de la schizophrénie, et pourrait conduire à de nouvelles approches de traitement de la maladie, pour laquelle peu d’innovation dans le développement de médicaments a été fait en près de 60 ans. Continuer la lecture