
24 février, 2012 – Une nouvelle étude du Hotchkiss Brain Institute (HBI) de l’Université de Calgary montre que les médecins peuvent prédire, grâce à la tomodensitométrie (CT scan), si des patients qui ont subi une attaque ischémique transitoire (AIT) ou un AVC mineur, provoquant des symptômes neurologiques comme des faiblesses ou des troubles de la parole, sont à risque élevé d’une seconde attaque plus sévère. Continuer la lecture